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Pointe St Mathieu
Un lieu de mémoire sur la Pointe St Mathieu dans le Finistère,
"Le cénotaphe -du grec Kénos -taphos - tombe vide, honore de manière individuelle le souvenir de ceux qui ont donné leur vie pour notre pays.
Il abrite leurs portraits et ainsi rassemble leurs visages, leurs regards, leurs présences anonymes et silencieuses au delà de tout critère d'appartenance et de hiérarchie."
On ne ressort pas de cet endroit sans une émotion particulière...
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Commentaires
et la liste est hélàs longue
quel ciel bleu ça réchauffe..c'est joli en tout cas
bonne journée a toi et bonne année :)
bisous et aux 4 pattes ☺♥
Merci Laska de m'avoir la porte,
je sais que j'oublie de passer sur quelques blogs,
et que je prends souvent souvent des pauses à cause
de ma santé.
Par contre je n'oublie personne dans mon coeur.
Bisous et Bonne Année 2918
Allison
Bonjour Martine oui je te comprend c'est toujours un dur moment un beau reportage quand même bon dimanche bisou Claudine Daniel
2JosianeDimanche 7 Janvier 2018 à 13:34Un bel hommage que tu nous proposes, c'est sur, on ne peut pas sortir sans aucune émotion dans ses lieux de mémoires.
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je te souhaite un bon we
janvier est deja a moitié finit ..
le temps passe vite
bisous
Janvier
Il fait froid
Les blizzards soufflent, et nul rayon
Ne dore des forêts les blancheurs infinies;
Mais Noël sur nos seuils laissa comme un sillon
De clartés, de parfums, de paix et d'harmonies.
Et sur l'épais verglas des chemins boulineux,
Sur les trottoirs glissants et clairs comme l'agate,
Dans les logis obscurs, sous les toits lumineux,
L'allégresse loquace et tapageuse éclate.
En vain la neige à flots tombe des cieux brouillés,
En vain le grand réseau polaire nous enlace,
En vain le fouet du vent nous flagelle la face,
Nos cœurs ont la chaleur des bords ensoleillés.
Nos cœurs français n'ont rien des froideurs de la bise
Qui tord l'arbre souffrant et mort presque à moitié,
Et nous nous enivrons de la senteur exquise
Qu'épanche sur nos fronts l'arbre de l'Amitié.
Ce vif rayonnement de joie en tous sens brille
Et glisse jusqu'au gîte isolé du colon.
Aux tables des fricots le sel gaulois pétille,
Et tout un monde gigue au son du violon.
Les somptueux salons sont ruisselants de flammes,
Et sous le flamboiement des lustres de cristal,
Comme un écho divin, la musique du bal
Emporte en ses replis prestigieux les âmes.
Dans tout cercle du soir plus vive est la gaîté,
Pendant que sur les toits sanglote la rafale,
Ou qu'au ciel éclairci l'aurore boréale
Déroule les splendeurs de son voile enchanté.
William Chapman.