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Vière, l'ancien Ongles
Les vestiges du premier village d'Ongles (Alpes de Hte Provence) : Vière, abandonné en 1860; une des raisons de son abandon est l'absence d'eau sur cet éperon rocheux
L'EGLISE
Quelque tombes du vieux cimetière
ruines des habitations
Le village actuel d'Ongles se trouve maintenant en contrebas
Tags : ongles, village, tombes, provence, ruines, vière
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Commentaires
Toujours un petit regret quand je vois des ruines là où se trouvait de jolies choses. belle soirée à toi bises
Bonjour Laska .
C'est vrai que maintenant , à force de trafiquer les couleurs , les canaris sont plus fragiles
Juste nous arrivons de ramasser des champignons , des russules charbonnières (des petits gris) dans le langage courant .
Se sont de très bons champignons .
J'espère que tu passé une bonne journée toi aussi .
A la prochaine visite .
Je t'embrasse .
J'aime beaucoup même si c'est des ruines car il y a toujours une histoire
derrière les vielles pierres
Bonne journée
Bonjour Martine .
Ce matin il fait beau mais si c'est comme hier , je crois que le temps va vite changer .
Nous avons passé la journée de Mardi au bord de l'eau , mais il a fait un vent glacial qui a refroidi l'atmosphère . Heureusement , nous avons déjeuné à l'abri dans le HLM .
Dans l'ensemble nous avons quand même passé une bonne journée .
Je te souhaite un bon Mercredi .
Bisous de nous deux .
Ca devait être magnifique dommage!
Un petit brin de soleil aujourd'hui !
Bonne journée et gros bisousBonjour Laska .
Voila une semaine qui commence avec du soleil .
J'espère qu'il en est de même chez toi et que tu as passé un bon week end
Peut être qu'après une période de mauvais temps nous allons avoir une belle arrière saison .
Je te souhaite une bonne semaine .
Je t'embrasse .
Maria .
J'ai mon vieux pépère canari âgé de 17 ans qui est mort la semaine passé , celui dont je t'avais parlé qui était tout ébourrifé et qui claquait du bec .
eh bien j'aime bien voir des vestiges du passé même en ruines, l'imagination fonctionne
un endroit sereinbonne journée a toi
bisous et aux 4 pattes **
Bonjour
C'est avec un beau soleil que je viens te souhaiter une belle journée
Et une bonne semaine...
J'espère que tu vas bien et que ton week end c'est bien déroulé
Je te donne rdv chez Ioka cette semaine.
Bel article avec de jolies photos...Tout une histoire
A bientot...Gros kissous de ta petite princesse Jasmine...♥
ohhhh ce que j'aime!!!!
ça ressemble tellement aux ruines de montaigle dans ma région
c'est drôle mais j'ai toujours préféré les ruines
le vieux, il me parle tellement plus
merci du partage
Toujours un peu nostalgique devant ces ruines qui, un temps, furent animées....
Beau lundi pour toibonjour martine,
c'est bien dommage cet abandon. de jolies ruines quand même ... bonne journée, bises, véronique
Oh ! J'avais vu un reportage sur cet endroit magnifique il y a quelques temps, avec un homme qui se battait pour conserver le patrimoine et les techniques ancestrales de Provence, comme les restanques, et je me souviens très bien de cet endroit qui m'avait marqué !!
Merci pour cette jolie ballade du lundi matin, pour attaquer la semaine !!!
Des bisous du sud où il fait super moche (y a une justice quand même)
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je te souhaite une belle journée
ici la pluie est revenue
bisous et a demain ....
Déjà bien jeune, je voulais être heureux
Je voulais dans la vie me sentir mieux
Je cherchais le bonheur, tout autour de moi
Je ne semblais pas être fait pour cela
Heureux, je voulais le sentir dans ma peau
Mais la vie ne m’offrait qu’un placébo
Je devrais peut-être visiter d’autres pays
Ou faire comme d’autres, changer de nid
Mais un matin pourtant, j’avais compris
Je pouvais moi aussi, être heureux dans la vie
Et devant mon miroir, je m’étais bien regardé
Et mes yeux, mes cheveux, je les avais aimés
Je me suis dit qu’avec cette tête que j’avais
Si je le voulais vraiment, je réussirais
Je suis donc devenu , en très peu de temps
Celui que j’aimais, de qui j’étais content
Il y aurait en moi, beaucoup plus de bonheur
La vie maintenant, avait une belle saveur
Quand je regardais les autres dans leurs yeux
Heureux, je ne voulais plus faire comme eux
Eux qui s’attachaient juste au regard des autres
Quand moi la vie, c’était un grand champ de roses
Claude Marcel Breault